29.11.10
25.11.10
We All Go A Little Mad Sometimes
22.11.10
20.11.10
17.11.10
16.11.10
15.11.10
11.11.10
Através de uma arcada, vê-se o cinema. O cinema está ao ar livre, por vezes chove, podia até nevar. Um homem vê o filme, nós apenas o conseguimos ouvir, e ver os raios da projecção no fumo da sala. Hoje não se pode fumar no cinema, por isso é mais difícil ver os raios da projecção numa sala de cinema... O filme que passa lá fora não sabemos qual é, mas sabemos que estamos em terreno perigoso e sabemos que somos levados pela paixão até ao fim, ouvimos tudo isto, ver não vemos nada... (quem quiser abrir esta porta e através da escuridão ver o branco da neve, o filme passa hoje na cinemateca, na sessão das 15h30)
10.11.10
8.11.10
Louis-Stéphane Ulysse convoque l'une de ses plus grandes passions : le cinéma hollywoodien des années 50 et 60. Dans Harold, il revient sur le tournage des Oiseaux d'Alfred Hitchcock, et n'hésite pas, pour cela, à faire d'un corbeau... son personnage principal.
Roman sur le désir et sur l'implacable fascination qu'exercent ceux qui nous sont inaccessibles, Harold est une fascinante plongée parallèle dans les coulisses d'Hollywood. Un livre qui mêle évènements fantasmées et anecdotes véridiques, personnages historiques et acteurs imaginaires.
“Nathalie Fiszman, des éditions du Serpent à plumes, cherchait un texte autour de la personnalité d'Alfred Hitchcock. Un soir, j'ai revu Oiseaux et le documentaire de bonus sur le DVD. Dans ce doc, Tippi Hedren et Rod Taylor racontaient des anecdotes avec les vrais oiseaux, dont deux corbeaux, Buddy et Archie. Buddy suivait Tippi partout. Quant à Archie, il avait pris Rod Taylor en grippe, au point de lui foncer dessus tous les matins. Je me suis dit que ça serait amusant de raconter le tournage du film, via le regard et la sensibilité d'un corbeau.” Louis-Stéphane Ulysse
E-ISSN: 1710-114X Print ISSN: 0007-7720
DOI: 10.1353/crv.2010.0001
Robert Genter
“We All Go a Little Mad Sometimes”: Alfred Hitchcock, American Psychoanalysis, and the Construction of the Cold War Psychopath
Canadian Review of American Studies - Volume 40, Number 2, 2010, pp. 133-162
University of Toronto Press
Abstract:
This article explores the image of the psychopath in Alfred Hitchcock’s 1960 film Psycho. The famed director’s portrayal of a psychologically damaged young man connected with a much larger discussion over political and sexual deviance in the early Cold War, a discussion that cantered on the image of the psychopath as the dominant threat to national security and that played upon normative assumptions about adolescent development and mother-son relations.
Résumé:
Le présent article jette un coup d’œil sur l’image du psychopathe du film Psycho (1960) d’Alfred Hitchcock. La représentation par le célèbre directeur d’un jeune homme ayant subi des dommages psychologiques, raccordée à une discussion beaucoup plus élargie sur la déviance politique et sexuelle au début de la guerre froide, une discussion centrée sur l’image du psychopathe comme une menace dominante pour la sécurité nationale et qui a joué sur les hypothèses normatives au sujet du développement de l’adolescent et des relations mère-fils.
T1 - “We All Go a Little Mad Sometimes”: Alfred Hitchcock, American Psychoanalysis, and the Construction of the Cold War Psychopath
A1 - Robert Genter
JF - Canadian Review of American Studies
VL - 40
IS - 2
SP - 133
EP - 162
Y1 - 2010
PB - University of Toronto Press
SN - 1710-114X
UR - http://muse.jhu.edu/journals/canadian_review_of_american_studies/v040/40.2.genter.html
N1 - Volume 40, Number 2, 2010
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